Act’ice est le programme d’accompagnement et de mise en réseau des projets qui favorisent la réinsertion des personnes ayant été condamnées par la justice.
Pierre-Olivier Lucas est co-directeur de Emmaüs Source d’envol, à la ferme de Ker-Madeleine, en Loire-Atlantique.
Le Prix 2D a permis au dirigeant d’Emmaüs Source d’envol de rencontrer d’autres acteurs du champ de la justice, de se connaître et de travailler en partenariat.
Albin Heuman, directeur de l'Atigip.
Pour associations, les financements publics se font rares. Pour autant, fondations et institutions restent sensibles aux projets qui œuvrent pour l'inclusion de personnes condamnées par la justice.
Philippe Saunier-Plumaz
Explorjob met en lien entre les jeunes en recherche d'orientation et des professionnels inspirants. Ayant abordé le monde carcéral, elle bénéficie cette année de l’accompagnement d’Act’ice.
Marion Moulin et Fanny Zunino ont présenté le Labo Act'ice devant des acteurs de la Justice et de l'économie sociale et solidaire.
Au-delà des projets accompagnés, Act'ice souhaite réellement faire évoluer le système d'inclusion des personnes sous main de justice. Nous allons donc rassembler toutes les parties prenantes du secteur pour imaginer de nouvelles prises en charge et généraliser les solutions.
Au sein de l'association Capso, Lydie Chaudet crée dans l'Ain un service de prévention de la récidive destiné aux auteurs de violences conjugales. Pour n’être pas consensuelle, sa solution recherche l’efficacité. Afin de bien développer ce projet, Lydie a suivi le parcours Act’ice en 2023.
La Coop CNV forme les personnels de l'administration pénitentiaire comme les personnes détenues à la communication non-violente.
Au sein de La Coop CNV, Guillemette Porta utilise les outils de la Communication Non Violente (CNV) pour prévenir et réduire la violence en détention et en milieu ouvert, en formant aussi bien les personnels de l’administration pénitentiaire que les personnes sous main de justice. Guillemette Porta. Qu'est-ce que la Communication Non Violente peut apporter au monde de la justice pénale ? La Communication Non Violente, c'est une façon d’être en relation respectueuse de soi et d’autrui. Nous formons les personnes sous main de justice à développer des compétences relationnelles pour soutenir leur réinsertion. Au-delà, je suis convaincue que c’est en apportant ces nouvelles compétences à tous les acteurs du milieu pénitentiaire que la violence pourra diminuer et que la réinsertion aura le plus de chance de fonctionner. Où en était ton projet lors de l’appel à projets Act’ice l’an passé ? A La Coop CNV, nous proposons des formations à la CNV dans tous les secteurs. Depuis 6 ans j’interviens dans le secteur pénitentiaire avec d’autres acteurs et j’ai eu envie de nous rassembler dans un pôle justice-prison au sein de La Coop CNV, afin de rendre nos activités plus visibles et plus pérennes. La Coop CNV forme les personnels de l'administration pénitentiaire comme les personnes détenues à…
Tiffanie Joannier.
Ayant démarré une activité en milieu carcéral, l'association Art-Exprim a participé à Act'ice pour aller plus loin.
Les neuf projets de la nouvelle promotion d’Act’ice promeuvent des solutions innovantes pour favoriser la réinsertion avant et après la fin de peine.
Avec l'association Possible et l'ensemble de nos partenaires d'Act'ice, nous avons construit un outil d’évaluation spécifique aux projets de réinsertion de personnes condamnées par la justice.
Act’ice, notre accompagnement des projets de réinsertion des personnes incarcérées, coopère avec avec l’agence d'Etat Atigip en créant un prix pour récompenser les innovations en la matière et pour accélérer les coopérations.