Des ruralités, il y en a beaucoup !
Chez Ronalpia, on distingue plusieurs formes de ruralité, selon l’éloignement des métropoles, la mobilité, la géographie… Mais pour nous, chaque territoire est singulier !
La grande ruralité, éloignée des pôles urbains, des centres-bourgs et des grands bassins d’emploi, des services publics. C’est le cas par exemple de l’Ardèche et de l’est de la Drôme.
La ruralité périurbaine. A quelques dizaines de kilomètres de grandes agglomérations, les territoires organisés autour de petites villes comme l’Arbresle, Tarare, Voiron peinent parfois à trouver leur dynamisme local propre.
Les territoires organisés autour de villes-centres moyennes assez dynamiques comme Roanne ou Bourg-en-Bresse. Là, l’un des enjeux est de créer des ponts avec les villages et territoires ruraux à proximité.

Quelles sont les fragilités des territoires ruraux ?
Là encore, chaque territoire est particulier par son histoire, sa géographie, sa démographie, sa culture, ses ressources naturelles… Cependant, trois grandes fragilités se dégagent souvent quand on s’éloigne des grands centres urbains.
- La cohésion sociale : le lien social, l’accueil des personnes âgées, l’isolement de personnes en situation précaire…
- Les freins à l’emploi, pas seulement pour les plus précaires : la mobilité, la garde des enfants, la création d’activités économiques et commerciales en centres-bourgs.
- L’accès aux services au sens large : se former au numérique, pouvoir se déplacer, accéder aux soins…

autant que des savoirs pratiques aux seniors dans les villages du Beaujolais.