Notre impact

pour les entreprises sociales

Renforcer l’ampleur et la pérennité de son entreprise

L’ampleur et la pérennité d’une entreprise passe notamment par la stabilisation de sa situation, la présence de ressources humaines stables et l’impact social ou écologique.

(en fin d’accompagnement)
Votre compte de résultat est-il :

En fin d’accompagnement, 42 % des entreprises ayant commencé leur activité ont un compte de résultat à l’équilibre, et 36 % ont un compte de résultat bénéficiaire.

Dans les années qui suivent, presque la moitié des entreprises interrogées atteignent un compte de résultat bénéficiaire.

Constituer une équipe

L’accompagnement que nous apportons contribue à constituer ou à consolider une équipe autour du projet. En fin d’accompagnement à la création, ce sont déjà 46 % des entreprises sociales qui ont au moins un équivalent temps plein dans leur équipe.

Dans les projets en développement, ce sont seulement 5 % des entreprises qui n’ont aucun salarié à temps complet en fin d’accompagnement.

Analyse

Les entrepreneurs sociaux que nous accompagnons ont tous le souhait de mettre l’impact social et environnemental au cœur de leur action. Par notre action, nous cherchons à leur donner les moyens de renforcer et de pérenniser leur activité afin qu’ils puissent répondre toujours plus finement aux fragilités qu’ils identifient, avec un impact maximal.

Premiers pas, Incubation, Fabrique à solutions • Lyon 2018, 2019, 2022

Anne Kahlhoven : revenir à l’idée qui tient à cœur

Au Tambour ! est le premier lieu non-mixte dédié au répit et au bien-être des femmes victimes de précarité, d’isolement et de violences dans la métropole de Lyon. Aujourd’hui, le lieu emploie cinq salariées et a mis en évidence le besoin d’un accueil spécifique pour les femmes en précarité.

« Le projet d’aujourd’hui était celui que j’avais à cœur au tout début, mais je n’osais pas le présenter. Je n’avais jamais travaillé dans le social, et, avant que je ne contacte Ronalpia, on m’avait conseillé de porter plutôt un projet de laverie sociale. J’avais donc dû pivoter mon projet pour qu’il rentre dans les clous. Mais j’y allais à reculons.

L’incubation m’a permis de revenir en douceur vers mon idée première. Je me suis rendu compte que c’était ça mon sujet. Même si je n’avais pas toutes les clés en mains, j’avais bien le droit d’aller vers un projet qui me fasse briller les yeux ! »